Laura ABRAMOWICZ

Osteopathe D.O.

53 rue de la Chaussée d'Antin 75009 Paris

L'Osteopathie

L'ostéopathie est une « médecine manuelle hollistique» qui repose sur des manipulations manuelles du système musculo-squelettique et myofasciale permettant de soulager certains troubles fonctionnels.

En effet, nous  palpons les corps pour déceler des tensions ou des déséquilibres éventuels pouvant causer des malaises ou des maladies, puis nous effectuons des manipulations pour rétablir l’équilibre (l’homéostasie) du corps.

En ostéopathie, on considère que tous les maux physiques aussi bien que psychologiques peuvent avoir des répercussions sur tout le corps et engendrer une ou plusieurs dysfonction(s).

 Ainsi, les mauvaises postures, les accidents, le stress ou les pensées négatives ne perturbent pas un seul système (musculo-squelettique, digestif, neurologique, vasculaire, hormonal…) mais l’ensemble de l’organisme.

 Pour traiter chaque dysfonction, il faut donc rétablir l’équilibre dans le système musculo-squelettique et dans chacun des autres systèmes.

Ce déséquilibre se traduit souvent par des pertes de mobilité ou motilité (=l’ensemble des mouvements propres à un organe ou à un système).

Un corps en bonne santé serait doté d’une excellente motilité, non seulement dans les articulations, mais dans  tous les tissus du corps : os, muscles, nerfs, ligaments, tendons, fascias, liquides, etc)

Les principes fondamentaux

L’ostéopathie est basée sur 4 principes fondamentaux définis par Andrew Taylor Still, père de la discipline :

  • La structure gouverne la fonction : c’est à dire que les diverses fonctions corporelles seraient en étroite interdépendance avec la structure du système musculosquelettique.
  • L’unité de l’être : il faut considérer le corps dans son ensemble et l’individu dans son intégralité. En effet, une partie du corps affectée veut dire un déséquilibre de l’harmonie du corps entier.
  • La règle de l’artère : dans un corps bien irrigué, il n’y aurait pas de congestion ni de dégénérescence cellulaire.
  • L’autoguérison : le corps possèderait ou pourrait générer les substances et les processus requis pour se soigner.